Guerre entre Israël et le Hamas : les réactions contrastées après le mandat d’arrêt contre Netanyahou
Benyamin Netanyahou ne décolère pas après le mandat d’arrêt de la Cour pénale à son encontre. Tout comme le chef de la branche armée du Hamas, le Premier ministre israélien et le ministre de la Défense, Yoav Galant, sont poursuivis pour crime de guerre et crime contre l’humanité. Ce mandat d’arrêt limite les déplacements du chef de l'État hébreux à l’étranger. L’Union européenne, par l’intermédiaire de son chef de la diplomatie, Josep Borrell, affirme que tous les États membres doivent appliquer ce mandat.
La France maintient une position floue
Le Royaume-Uni, l'Irlande ou encore l'Espagne promettent de respecter la décision de la CPI, mais d'autres, comme la France, maintiennent le doute. Paris annonce prendre acte des mandats d’arrêt émis par la Cour sans préciser si la France compte les respecter. Les États-Unis ne reconnaissent pas la légitimité de la CPI et ne sont donc pas dans l’obligation de respecter les mandats d’arrêt à l'encontre du dirigeant israélien.
Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.
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