Enchères : le butin des voyous à vendre

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Des voitures de luxe, des montres ou encore des sacs à main de grande marque… Tout cela peut s’acheter à prix bradés. C’est en tout cas ce que promet la vente des biens confisqués par la justice à des malfaiteurs. Cette vente se tient en ce moment au siège de la police judiciaire.
Enchères : le butin des voyous à vendre Des voitures de luxe, des montres ou encore des sacs à main de grande marque… Tout cela peut s’acheter à prix bradés. C’est en tout cas ce que promet la vente des biens confisqués par la justice à des malfaiteurs. Cette vente se tient en ce moment au siège de la police judiciaire. (France 2)
Article rédigé par France 2 - A. Lay, V. Lerouge, J-M. Lequertier, G. Gheorghita, J. Pires
France Télévisions
Des voitures de luxe, des montres ou encore des sacs à main de grande marque… Tout cela peut s’acheter à prix bradés. C’est en tout cas ce que promet la vente des biens confisqués par la justice à des malfaiteurs. Cette vente se tient en ce moment au siège de la police judiciaire.

Des objets de luxe saisis sont en vente au cœur du tribunal. Des talons extravagants, des sacs en cuir de crocodile, Dolce & Gabbana, Yves Saint Laurent en passant par Louis Vuitton... Les plus grands crus sont mis à prix pour 215 euros pour un Petrus de 1983. Sans oublier les montres de luxe : "Je ne sais pas d’où ça sort et je ne veux pas le savoir. L’important, c’est de faire de bonnes affaires", explique un potentiel acheteur.

2 600 acheteurs potentiels en ligne

Une vente exceptionnelle a lieu ce jeudi 21 novembre 2024 pour ces 450 biens achetés par de grands délinquants et confisqués par la justice lors de leur interpellation.

Quand les enchères débutent, il y a une centaine d’acheteurs dans la salle et pas moins de 2 600 participants en ligne de 53 pays différents. La concurrence est rude. En 2023, ces ventes ont rapporté 19 millions d’euros à l’État.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.