Cet article date de plus de sept ans.

Vidéo Admission post-bac : le Premier ministre supprime le tirage au sort

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
#APB "Nous allons supprimer le tirage au sort", "il existe des solutions plus humaines, plus intelligentes" -  Edouard Philippe
#APB "Nous allons supprimer le tirage au sort", "il existe des solutions plus humaines, plus intelligentes" - Edouard Philippe #APB "Nous allons supprimer le tirage au sort", "il existe des solutions plus humaines, plus intelligentes" - Edouard Philippe
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Edouard Philippe a présenté lundi 30 octobre le plan du gouvernement sur l'entrée à l'université, avec notamment une nouvelle plateforme de vœux pour les lycéens de terminale.

La fin du tirage au sort. "Entre la sélection brutale et le tirage au sort, il existe une palette de solutions beaucoup plus souples, beaucoup plus humaines, beaucoup plus intelligentes aussi, qui reposent sur l'engagement des enseignants (...) pour accompagner chaque étudiant, chaque lycéen vers la réussite", a déclaré le Premier ministre, Edouard Philippe, lundi 30 octobre, en présentant son plan sur l'entrée à l'université.

"Nous allons supprimer le tirage au sort, mettre en place une nouvelle plateforme [d'admission post-bac (APB)] plus simple, plus rapide, plus accueillante et un processus véritablement organisé pour accompagner les lycéens dans leur choix", a-t-il poursuivi, précisant ainsi les lignes directrices du nouveau système d'admission post-bac.

Durant son année de terminale, avec le nouveau système APB, le lycéen formulera une douzaine de vœux, sur lesquels ses enseignants émettront des avis. Son dossier sera ensuite transmis aux universités souhaitées, qui feront également des observations sur sa candidature. Au final, même si les avis sont défavorables, le lycéen pourra maintenir son choix d'orientation, mais éventuellement sous condition (suivre une formation ou un stage supplémentaire pour y accéder).

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.