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Législatives : les enjeux du scrutin pour les cinq plus importants partis politiques

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Législatives : les enjeux du scrutin pour les cinq plus importants partis politiques
Législatives : les enjeux du scrutin pour les cinq plus importants partis politiques Législatives : les enjeux du scrutin pour les cinq plus importants partis politiques (FRANCE 2)
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Les équipes de France 2 font le tour des QG de différents partis par ordre décroissant de leur score à la présidentielle.

Le tour des QG des partis commence avec la République en marche. "L'objectif est de transformer la victoire présidentielle en majorité parlementaire. Et donc confirmer, amplifier, ce résultat en tentant d'obtenir une majorité absolue à l'Assemblée, c'est-à-dire plus de 289 députés", explique Astrid Mezmorian en direct du XVe arrondissement de Paris. Et pour le Front national, quels sont les enjeux de cette élection ? "C'est un scrutin qui s'annonce compliqué pour le Front national qui est encore meurtri par le score décevant du second tour de la présidentielle. Il fait face à un mode de scrutin particulier aux législatives, notamment lorsque le taux de participation s'annonce faible. Ce qui veut dire moins de triangulaires et plus de face-à-face au second tour", analyse Jean-Baptiste Marteau en direct d'Hénin-Beaumont.

Débâcle annoncée

Pour les Républicains : "la droite compte sur l'ancrage local de ses candidats pour résister à la vague En Marche ! La droite espère remporter ces législatives pour imposer une cohabitation au nouveau président, mais sondage après sondage cette ambition a été revue à la baisse", indique Thierry Curtet en direct du siège Les Républicains. "L'objectif affiché de la France insoumise est d'être la seule force d'opposition pour galvaniser les troupes. Les candidats ont d'ailleurs attaqué ces derniers jours la réforme du Code du travail. La France insoumise espère rééditer la performance de l'élection présidentielle", indique Margot Manière en direct de Marseille (Bouches-du-Rhône). Rue de Solférino "il s'agit tout simplement de sauver les meubles. Il faut éviter la débâcle annoncée après le très mauvais résultat à la présidentielle. Le parti socialiste est divisé comme jamais, il n'a pas de chef et il n'a pas de ligne claire; certains socialistes ne sont d'ailleurs pas certains de former un groupe dans la prochaine Assemblée", précise Hélène Hug en direct de la rue de Solférino.

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