Emeutes après la mort de Nahel : l'IGPN et l'IGGN saisies de dix enquêtes sur les agissements des forces de l'ordre
L'inspection générale de la police nationale (IGPN), la "police des polices", et son pendant pour la gendarmerie, l'inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN), ont été saisies de dix enquêtes depuis le début des émeutes qui ont suivi la mort de Nahel, tué par la police lors d'un contrôle routier, a déclaré Gérald Darmanin jeudi 5 juillet.
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Le ministre de l'Intérieur s'est exprimé à ce sujet alors qu'il était entendu par la commission des lois du Sénat. L'une de ces enquêtes est menée par l'inspection générale de la police nationale (IGPN), après la grave blessure à la tête dont a été victime un jeune homme, actuellement dans le coma, le 30 juin à Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle). Des agents du Raid y intervenaient.
Une autre enquête, menée par l'IGPN et la police judiciaire, concerne la mort d'un homme de 27 ans dans la nuit de samedi à dimanche à Marseille, possiblement victime d'un tir de projectile de "type flash-ball", selon le parquet.
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