Vidéosurveillance à domicile : elle voit en direct le cambriolage de son logement

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Vidéosurveillance à domicile : elle voit en direct le cambriolage de son logement
Vidéosurveillance à domicile : elle voit en direct le cambriolage de son logement Vidéosurveillance à domicile : elle voit en direct le cambriolage de son logement (France 2)
Article rédigé par France 2 - E. Pelletier, N. Acloque, Y. Amiel, J. Wild, N. Le Mentec, V. Ghiri, G. Le Goff, P.-J. Perrin, N. Jauson
France Télévisions
De plus en plus de particuliers équipent leurs domiciles de caméras de vidéosurveillance. Une habitante de Reims (Marne) qui était en déplacement à l'étranger a ainsi assisté, avec impuissance, à son propre cambriolage en direct.

Sabah Ziani a assisté en direct, impuissante, au cambriolage de son domicile à Reims (Marne), alors qu'elle était en déplacement à l'étranger. "J'ai mon téléphone qui m'envoie une notification qui m'alerte d'une intrusion à mon domicile", explique-t-elle. Sabah Ziani s'est ensuite connectée pour voir les images des caméras de vidéosurveillance installées à son domicile, et a pu voir les cambrioleurs. C'est sa mère qui a prévenu la police locale, car l'appel au 17 ne passait pas puisqu'elle était à l'étranger.

Les suspects courent toujours

Sabah Ziani rapporte que des policiers de la BAC sont intervenus trois quarts d'heure après le cambriolage. Les malfaiteurs avaient déjà quitté les lieux. En rentrant chez elle, Sabah Ziani a découvert l'ampleur des dégâts. Les suspects courent toujours. Dans une autre affaire de cambriolage à Lançon-Provence (Bouches-du-Rhône), mardi 24 décembre, c'est un système de vidéosurveillance similaire qui a permis d'arrêter le voleur. Les locataires ont été alertés. Ils ont suivi ses moindres faits et gestes et ont renseigné à distance les gendarmes, qui sont arrivés rapidement sur place. L'arrestation a été filmée par la vidéosurveillance.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.