Automobilistes français : les infractions vont coûter cher en Belgique

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À la question « faut-il payer une demande reçue à l’étranger ? », la réponse est « oui » mais beaucoup d’automobilistes ne le font pas et ce n’est pas du goût de notre voisin belge. À partir du 1er janvier, une caution sera demandée à un conducteur testé positif à la drogue ou à l’alcool d’un montant de 1 260 euros.
Automobilistes français : les infractions vont coûter cher en Belgique À la question « faut-il payer une demande reçue à l’étranger ? », la réponse est « oui » mais beaucoup d’automobilistes ne le font pas et ce n’est pas du goût de notre voisin belge. À partir du 1er janvier, une caution sera demandée à un conducteur testé positif à la drogue ou à l’alcool d’un montant de 1 260 euros. (france 2)
Article rédigé par France 2 - T. Maillet, F. Caer, M. Marchand, A. Aubert
France Télévisions
À la question "faut-il payer une demande reçue à l’étranger ?", la réponse est "oui" mais beaucoup d’automobilistes ne le font pas et ce n’est pas du goût de notre voisin belge. À partir du 1er janvier, une caution sera demandée à un conducteur testé positif à la drogue ou à l’alcool d’un montant de 1 260 euros.

Sur une autoroute de la frontière française, la police belge procède à des contrôles routiers fréquents. Parmi les automobilistes, des Belges mais aussi des Français. Et ce sont ces derniers qui sont dans le collimateur de la justice belge. À partir du 1er janvier 2025, en cas de contrôle positif au stupéfiant, les automobilistes étrangers devront s’acquitter d’une caution pour pouvoir repartir : 1 260 euros retenus jusqu’à un procès pour contraindre les usagers en faute à payer l’amende après condamnation.

Une mesure bien accueillie du côté français

"Pour celui qui ne fait pas attention, je trouve cela mérité" note une automobiliste française. Mais le montant de la caution est jugé élevé, "surtout quand la vie est dure" estime un autre usager de la route. Au-delà d’un avertissement contre les stupéfiants, c’est aussi un moyen de récupérer un gros manque à gagner pour l’Etat belge.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

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