Procès Bonnemaison

Nicolas Bonnemaison, médecin urgentiste, est accusé d'avoir abrégé la vie de malades terminaux en leur administrant des médicaments hors de tout protocole, entre 2010 et 2011. Il a justifié ses gestes en affirmant qu'il voulait abréger leurs souffrances. Son procès, qui a relancé le débat sur la fin de vie, a débuté le 11 juin 2014. Au cours des débats, des médecins, des collègues et même des proches de victimes ont été nombreux à soutenir l'ex-docteur, qui a assumé tous ses actes.