INA

Deux ex-patrons de l'INA sont dans la tourmente : nommée à la tête de l'Ina en avril 2014, Agnès Saal a été poussée à la démission fin avril après avoir été épinglée pour avoir dépensé plus de 40 000 euros de taxis en dix mois, dont 6 700 euros par son fils qui disposait de son code de réservation auprès de G7. De son côté, Mathieu Gallet, son prédécesseur, est visé par une plainte pour favoritisme pour des contrats passés avec des sociétés de communication et de conseil entre 2010 et 2014.