Législatives 2024 : au Nouveau Front populaire, chacun joue sa partition

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Difficile pour les élus du Nouveau Front populaire de se mettre d'accord sur un Premier ministre à proposer au camp présidentiel. Après leur victoire aux élections législatives, les chefs de partis placent leurs pions.
Législatives 2024 : au Nouveau Front populaire, chacun joue sa partition à part Difficile pour les élus du Nouveau Front populaire de se mettre d'accord sur un Premier ministre à proposer au camp présidentiel. Après leur victoire aux élections législatives, les chefs de partis placent leurs pions. (France 2)
Article rédigé par France 2 - A. Peyrout, J. Assouly, T. Curtet, S. Soltani, S. Dolé, H. Pozzo, M. Deujou, G. Beaufils, J. Martin, T. Le Hec, L. Harper, B. Bervas
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Difficile pour les élus du Nouveau Front populaire de se mettre d'accord sur un Premier ministre à proposer au camp présidentiel. Après leur victoire aux élections législatives, les chefs de partis placent leurs pions.

Son arrivée a été une surprise et s'est faite sous une nuée de caméras : Jean-Luc Mélenchon est venu féliciter les députés Insoumis, mardi 9 juillet. Le leader de La France insoumise en a profité pour demander à Emmanuel Macron de nommer un Premier ministre de gauche, mettant en garde contre un coup de force démocratique. "C'est le président de la République qui bloque la situation aujourd'hui pour garder le pouvoir le plus longtemps possible", a estimé le chef de file de LFI.

Olivier Faure est partant

Mais encore faut-il que la gauche ait un nom à proposer. Les négociations se poursuivent entre les chefs de partis ce mardi soir. En coulisses, les Insoumis poussent pour la députée Clémence Guetté, proche de Jean-Luc Mélenchon. Mais un nouveau prétendant socialiste pour Matignon a fait irruption : Olivier Faure, le premier secrétaire du PS. À "une condition", dit-il, "que personne n'impose son point de vue". Chez les écologistes, on ne ferme pas la porte, mais on ne l'ouvre pas vraiment non plus. 

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