Mort de Naomi Musenga : travailler au centre d'appels est "un poste très lourd, en première ligne"
Insultes, mauvaises blagues, stress... Les agents du centre d'appels de secours de Strasbourg sont chargés de gérer jusqu'à 3 000 coups de fil par jour. Après les révélations sur le mort de Naomi Musenga, l'équipe est désemparée et reçoit des menaces.