Plans sociaux : à quoi peut-on attribuer cette vague de licenciements ?

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Plans sociaux : à quoi peut-on attribuer cette vague de licenciements ?
Plans sociaux : à quoi peut-on attribuer cette vague de licenciements ? Plans sociaux : à quoi peut-on attribuer cette vague de licenciements ? (France 2)
Article rédigé par France 2 - J. P. Chapel
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Les plans sociaux devraient atteindre dès la semaine prochaine le nombre de 250 depuis le début de l'année 2024. Un phénomène que Jean-Paul Chapel explique par un facteur simple dans le "20 Heures" de France 2, mercredi 20 novembre.

Le climat social se tend avec l'annonce de nouveaux plans sociaux, comme celui de Teleperformance, qui concerne près de 600 salariés dans l'Hexagone, et celui de ArcelorMittal, qui toucherait 130 emplois. "En à peine deux mois, une quarantaine d'usines en danger ont été répertoriées en France par le journal 'Les Échos'", pointe le journaliste Jean-Paul Chapel, dans le "20 Heures" du mercredi 20 novembre

7 500 emplois sont menacés

"Au total, 7 500 emplois sont menacés", résume-t-il. Outre Michelin "et ses 1 254 postes supprimés", cela concerne bien d'autres domaines. "De nombreux équipementiers de l'automobile sont touchés", explique Jean-Paul Chapel, qui confirme que "la marée monte depuis le début de l'année", citant les chiffres de la CGT, qui a recensé "130 plans sociaux" depuis début 2024. 

Un chiffre qui devrait grimper à "250 la semaine prochaine", ajoute encore Jean-Paul Chapel. Ce phénomène s'explique par "la fin du quoi qu'il en coûte", souligne le journaliste.

Regardez l'intégralité de la chronique dans la vidéo ci-dessus.

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