Législatives 2024 : pour Aurélien Taché, député NFP-LFI du Val-d’Oise, Huguette Bello "incarne l’expérience" et "les convictions"

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Législatives 2024 : pour Aurélien Taché, député NFP-LFI du Val-d’Oise, Huguette Bello "incarne l’expérience" et "les convictions"
Législatives 2024 : pour Aurélien Taché, député NFP-LFI du Val-d’Oise, Huguette Bello "incarne l’expérience" et "les convictions" Législatives 2024 : pour Aurélien Taché, député NFP-LFI du Val-d’Oise, Huguette Bello "incarne l’expérience" et "les convictions" (franceinfo)
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Quel candidat pour le poste de Premier ministre à gauche ? Éléments de réponse avec Aurélien Taché, députée NFP-LFI du Val-d’Oise, et William Thay, président du think tank Le Millénaire.

Aurélien Taché, député NFP-LFI du Val-d’Oise, invite les socialistes "à vraiment réfléchir à l’engagement qu’ils vont prendre durant le week-end". "Les électeurs nous ont placés (…) en tête dans les trois blocs qui se présentaient à l’élection législative. (…) Et je ne crois pas que le choix des électeurs du Nouveau Front populaire était de dire : il faut que le futur Premier ministre soit socialiste ou rien", argue-t-il.

Aujourd’hui, les communistes proposent le nom d’Huguette Bello, qui selon Aurélien Taché pourrait "recueillir le consensus"

Une bataille "pour le leadership de gauche"

Mais "encore une fois, du côté socialiste, ça semble coincer", déplore le député, et ce malgré la personnalité "rassembleuse" de la candidate. "Elle incarne l’expérience, les convictions [et] une personnalité qui tranche avec ce que l’on voit trop souvent dans le monde politique", résume Aurélien Taché.  

Pour William Thay, le président du think tank Le Millénaire, Huguette Bello a "un parcours particulier qui permet de rassembler au-delà" de la gauche. Ce dernier souligne toutefois que la bataille se joue d’abord "pour le leadership de gauche" entre La France insoumise et les socialistes, et ce "depuis les élections européennes". William Thay rappelle également que "des règles avaient été établies avant la campagne électorale". En l'occurrence, que "celui arrivé en tête des groupes parlementaires (...) proposerait le nom du Premier ministre"

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