"Que manquait-il ? La mort au bout peut-être ?" Le cri de désespoir de la judokate Margaux Pinot après la relaxe de son compagnon jugé pour des faits de violences conjugales
Margaux Pinot répond ainsi au tribunal de Bobigny qui a relaxé mardi son compagnon, jugé pour violences conjugales à l'encontre de la judokate. Le parquet a fait appel.