Quand Renault anticipait le suicide de ses cadres accusés à tort d'espionnage
EXCLUSIF - Ce sont des documents très embarrassants pour Renault, que révèlent France Info et France Inter : un échange de mails au sein du service communication du constructeur, au moment où a éclaté, en janvier 2011, la fausse affaire d'espionnage qui avait conduit au licenciement de trois cadres, trois salariés accusés à tort et sans preuve tangible. A ce moment-là, Renault avait prévu de communiquer sur le possible suicide de ces cadres.